ALERTE – LE BUNDES TAG CHANGE DE CAP : WEIDEL ÉLUE, MERZ ÉJECTÉ !
Un tournant historique vient de se produire au Bundestag : Alice Weidel, figure montante de l’AfD, a été élue, laissant Friedrich Merz sur le carreau. Ce qui semblait impensable il y a quelques mois est désormais réalité. La politique allemande est en émoi.
Dans une ambiance électrique, les débats au sein du Plenarsaal ont révélé une fracture inédite. Alors que les députés de la SPD et des Verts tentaient de maintenir leur emprise, un cri de victoire a retenti du côté de l’AfD. “Weidel, Weidel !” a résonné, tandis que Merz, pétrifié, observait l’effondrement de son autorité.
Cette séance n’était pas qu’une simple vote : elle symbolise la déliquescence d’une politique qui a perdu le contact avec la réalité. Les mots de Jens Spahn, “Nous devons reconnaître nos erreurs”, résonnent comme un dernier avertissement.
La montée de l’AfD, désormais à 27% dans les sondages, est le résultat d’une colère populaire face à une politique jugée déconnectée. Les critiques internes au sein de la CDU se sont intensifiées, certains appelant à un changement de cap. Le climat est devenu explosif, et la confiance s’est évanouie.
Friedrich Merz, jadis considéré comme le pilier de la CDU, a été contraint de céder son poste. Les réactions internationales fusent : Ursula von der Leyen parle d’un “jour difficile pour l’Europe”, tandis que Victor Orban voit en cela une “bonne nouvelle pour un Allemagne souveraine”.
En Allemagne, le choc est palpable. Les SPD et Verts se réunissent en urgence, craignant un bouleversement de l’ordre démocratique. Ricarda Lang évoque un “droit de la démocratie sans précédent”. Mais pour d’autres, c’est un retour à l’ordre et à la sécurité.
Alice Weidel ne perd pas de temps : elle annonce la création de commissions d’enquête sur des sujets brûlants tels que les mesures anti-Covid et la gestion des migrations. Les réseaux sociaux s’enflamment sous les hashtags “Neuanfang” et “29 Novembre”, célébrant ce qu’ils considèrent comme une libération.
Les conséquences de ce changement de cap sont encore floues. La CDU est à la croisée des chemins, tandis que l’AfD se positionne comme le nouvel acteur majeur. La question demeure : est-ce le début d’une nouvelle ère ou le prélude à un conflit plus profond ?
L’Allemagne a changé, et cette fois, il semble qu’il n’y ait pas de retour en arrière possible. Ce moment marque un tournant décisif dans l’histoire politique du pays. Le peuple a parlé, et la politique est contrainte de l’écouter.
