
Un incident hilarant s’est produit lors d’une émission en direct sur France Inter, où le chanteur et analyste auto-proclamé Benjamin Biolet a prédit l’échec de l’élection de Javier Milei en Argentine. Moins de 48 heures plus tard, la victoire écrasante de Milei a provoqué un véritable raz-de-marée sur les réseaux sociaux, faisant rire des milliers d’internautes.
Le 13 octobre, Biolet, arborant son blouson en cuir et ses lunettes noires, s’est présenté comme un expert politique, annonçant avec assurance la chute de Milei. Son ton professoral et sa condescendance habituelle ont fait frémir les auditeurs. Pourtant, ce week-end, c’est une claque monumentale qui l’attendait.
Milei a remporté les élections législatives avec plus de 40,8 % des voix, renversant toutes les attentes que Biolet avait placées sur lui. Les réseaux sociaux se sont enflammés, partageant des vidéos du moment où Biolet s’est planté, et les commentaires moqueurs ont fusé de toutes parts.

Les internautes, se moquant de l’analyste politique du dimanche, ont souligné l’ironie de la situation. Biolet, qui se croyait en position de donner des leçons, s’est retrouvé au centre d’un véritable feu nourri de critiques. La morale de l’histoire : avant de juger la réalité d’un pays depuis un studio parisien, il vaut mieux s’informer.
Cette situation rappelle des épisodes similaires, comme ceux de Trump aux États-Unis ou de Meloni en Italie, où les élites ont souvent du mal à accepter les choix du peuple. Biolet, jadis perçu comme un artiste engagé, est désormais devenu un véritable sketch ambulant aux yeux du public.

Les leçons sont claires : l’arrogance des donneurs de leçons peut rapidement se retourner contre eux. Les internautes, amusés par le retournement de situation, rappellent que la réalité politique est souvent bien plus complexe que ce que les experts auto-proclamés veulent faire croire.
Alors que les vidéos continuent de circuler, il est évident que Benjamin Biolet devra revoir ses certitudes et peut-être même sa manière d’aborder la politique. La chute de l’analyste bobo est un rappel cinglant que le peuple a souvent des opinions bien plus nuancées que celles des élites qui les jugent.